HISTORIQUE DES FILLES DE MARIE ET DE JOSEPH AU CAMEROUN

Les Filles de Marie et de Joseph sont arrivées au Cameroun en 1980 et se sont installées à la paroisse Sainte Marie de Mayo-Ouldémé par une invitation de Monseigneur Jacques de Bernon qui souhaitait une présence féminine dans une nouvelle paroisse de Mémé.
Sœur Monique BOILS (Belge) et Sœur Louis 
Marie HANRAHAN (Irlandaise) sont les premiers arrivants et plus tard, en 1987 Sœur Agnès Philips (Belge) les rejoint à Mayo Ouldémé. 
 Pour pouvoir communiquer avec la population locale, elles ont toute appris la langue Mada, ce qui les a aidées à s’intégrer facilement dans le milieu et se mêler aux indigènes indépendamment de leurs nationalités et de la couleur de leur peau entre autres.


La paroisse de Mémé est née de la paroisse de Mayo Ouldémé en 1988. La paroisse Sainte Marie de Mayo Ouldémé avait deux secteurs : le secteur montagne et le secteur plaine. Pour pouvoir mieux se consacrer à chaque secteur, la paroisse Sainte Marie de Mayo Ouldémé s’est scindée en deux. Ceci a donné naissance à la paroisse Saint Francois d’assise à Mémé pour le secteur plaine
L’Abbé Frans BYL, prêtre Fidei Donum du Diocèse de Bruges arrive en 1988 à Mayo Ouldémé pour devenir Curé de la future nouvelle paroisse de Mémé.

Les Sœurs se sont installée à Mémé après les constructions faites à l’aide des Frères de l’Evangile de Mayo Ouldémé.
Dans la paroisse de Mémé, les sœurs se sont appliquées dans les activités paroissiales jusqu’aujourd’hui. Il s'agit notamment d'aider à la sacristie, de se rendre dans les différents secteurs le dimanche, d'accompagner les femmes, les couples mariés, les jeunes et les enfants dans leurs différents mouvements, de donner une formation pratique aux filles et aux jeunes femmes qui n'ont pas eu l'occasion d'étudier ou de poursuivre leurs études.
 
 
Les sœurs se sont occupée des personnes positives au VIH-SIDA pour les accompagner et les aider par la nutrition, les moyens de transport pour se rendre à l’hôpital et cet apostolat continue.
Les sœurs ont toujours été à la disposition du peuple tout entier pour répondre à ses besoins selon leurs capacités. 
La présence des FMJ auprès des gens de Mémé les fortifie. Nous vivons notre internationalité en cherchant à être un malgré plusieurs langues et cultures qui nous différentient.